La décoration de la Salle des gardes du Plessis-Bourré, qui obéit « au goût affiné et universel de la société médiévale pour le symbolisme des images » semblerait témoigner des préoccupations occultes de Jean Bourré.
Le plafond, peint à sa demande, est composé de 24 caissons dont les 16 premiers symbolisent le Grand Œuvre, tandis que les 8 derniers, à personnages et textes en ancien français, représentent des conseils que les alchimistes doivent suivre dans leur quête.
Cette iconographie est complétée par d’autres décors parsemés dans le château, notamment au niveau de la façade du Grand Logis et de l’Escalier de France.